08/01/2010

La femme du Vème de Douglas KENNEDY

ROMAN PARU EN 2007
Le choix de ce livre s'est fait dans le cadre de ma tournante de livres.
Je lui donnerai 5/5.
Quelques mots sur l'auteur : Douglas Kennedy est un romancier et journaliste américain né à New York le 1er janvier 1955. C'est un écrivain d'envergure mondiale. Son enfance mouvementée a certainement joué un rôle dans son oeuvre littéraire pour laquelle il s'en est inspirée. A 22 ans en 1977, il quitte l'Amérique et fonde une compagnie théâtrale en Irlande. En 1980, après avoir vendu ses pièces radiophoniques à une radio britannique, il se consacre véritablement à l'écriture. En 1985, il se marie et s'installe à Londres. En 1994, publication de "Cul de sac" son premier roman puis paraissent aussi "L'homme avec qui il voulait vivre sa vie" qui aura une réputation internationale, "Les désarrois de Ned Allen", "La poursuite du bonheur", "Rien ne va plus" et "Les charmes discrets de la vie conjugale". Douglas Kennedy enchaîne les réussites et best-sellers traduits dans de nombreuses langues.
RESUME : Harry Ricks menait une vie paisible avec sa femme et sa fille aux Etats-Unis en tant que professeur d'université. Suite à un scandale lié à une affaire de moeurs qui le concerne directement, il sera licencié de son travail et mis à la porte par sa propre famille. Il quitte tout alors pour Paris, ville où il va trouver refuge et poursuivre son destin.
MES IMPRESSIONS : Je ne suis guère attirée par les romans policiers en général mais cette fois-ci, je me suis laissée embarquer dans ce livre. Ce roman m'a littéralement envoûtée et j'ai dû y consacrer une bonne partie de mon temps, négligeant même ma vie de mère de famille, pour avancer et finir ce qui me tenait en haleine depuis les premières pages. L'intrigue est passionnante et on peut aisément imaginer le décor du site puisqu'il s'agit de Paris, ville que je connais bien pour y avoir habité plus de vingt ans. Comme tous ces romans à suspens, il serait inutile de rentrer dans les détails de l'histoire pour paraphraser. Je conclus donc en vous disant de ne pas hésiter à lire ce roman qui fait du bien et permet de s'évader tout au long de ses 378 pages.

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